
L'ambiance est studieuse et volontaire. Il faut dire que compte-tenu de l'état actuel de la gauche et en particulier du PS, il est de notre responsabilité de se réunir et d'agir. Nous n'avons ni à tomber dans le défaitisme ambiant, amplement perceptible alors que se prépare l'Université de La Rochelle et que les défections se font nombre, ni dans l'immobilisme.
Nous savons que nous avons beaucoup de travail pour rénover en profondeur le projet socialiste et recomposer le PS. Ce travail de réflexion s'organise aujourd'hui avec des intervenants issus du monde de la recherche, de la société civile mais aussi des personnalités du PS issus de trajectoires et de courants différents. La rénovation passera aussi par là: en agissant collectif, et le plus largement possible, et en faisant tomber les écuries qui nous ont mené aujourd'hui dans l'impasse.
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